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Pradelles
En empruntant le chemin de Stevenson
Haute-loire (43) - 651 habitants - Altitude : 1 157m
Protégeant pèlerins et muletiers sur le chemin de Regordane, Pradelles était au XIè siècle la "place forte des hautes prairies".
Dominant la vallée du Haut Allier avec pour horizon les monts de Margeride à l'ouest, le Mont Lozère au sud et la chaîne du Tanargue à l'est, Pradelles fut longtemps une place forte ceinturée de remparts.
Etape sur la voie Regordane reliant l'Auvergne au Languedoc, le village fut aussi un carrefour pour les pèlerins cheminant vers Le Puy-en-velay ou Saint-Gilles-du-Gard, pour les marchands important à dos de mulets le sel, l'huile ou les vins du Midi comme pour les armées et compagnies de routiers transportant armes et munitions. Les hautes façades de Pradelles ont vu ainsi au fil du temps des générations de voyageurs aussi divers que Saint Jean-François régis prêchant au début du XVIIè siècle la foi catholique en des terres voisines des Cévennes séduites par le protestantisme, le bandit de grands chemins et héros populaire Louis Mandrin au XVIIIè siècle ou, plus récemment, l'écrivain écossais Robert Louis Stevenson parcourant, avec son ânesse Modestine, le chemin qui porte désormais son nom.
En empruntant le chemin de Stevenson
Haute-loire (43) - 651 habitants - Altitude : 1 157m
Protégeant pèlerins et muletiers sur le chemin de Regordane, Pradelles était au XIè siècle la "place forte des hautes prairies".
Dominant la vallée du Haut Allier avec pour horizon les monts de Margeride à l'ouest, le Mont Lozère au sud et la chaîne du Tanargue à l'est, Pradelles fut longtemps une place forte ceinturée de remparts.
Etape sur la voie Regordane reliant l'Auvergne au Languedoc, le village fut aussi un carrefour pour les pèlerins cheminant vers Le Puy-en-velay ou Saint-Gilles-du-Gard, pour les marchands important à dos de mulets le sel, l'huile ou les vins du Midi comme pour les armées et compagnies de routiers transportant armes et munitions. Les hautes façades de Pradelles ont vu ainsi au fil du temps des générations de voyageurs aussi divers que Saint Jean-François régis prêchant au début du XVIIè siècle la foi catholique en des terres voisines des Cévennes séduites par le protestantisme, le bandit de grands chemins et héros populaire Louis Mandrin au XVIIIè siècle ou, plus récemment, l'écrivain écossais Robert Louis Stevenson parcourant, avec son ânesse Modestine, le chemin qui porte désormais son nom.